“Le joueur qui avait été embauché à la mairie grâce au foot pouvait percevoir jusqu’à 50 à 60% de son salaire de la part du club. On avait cette chance à l’époque de bénéficier de subventions et d’emplois de la municipalité qui nous ont beaucoup aidé.”

Dans le Jir du 10/02, Abdul Cadjee semble regretter cette époque bénie où les impôts locaux des communes servaient à financer les pousse-cailloux de la Saint-Pierroise. C’est vrai, quoi, vous commencez à nous prendre la tête avec vos écoles primaires et vos rues à rénover.