GGL encense Adler, évidemment

 

Dans la dernière livrée de l’édito du JIR, qui marque le retour de Jacques Tillier après sa vraie-fausse candidature aux sénatoriales, intitulées, toujours avec la classe qu’on lui connaît, “Chiure et vomi“, ce sont bien celles grattées par son porte-flingues GGL qui nous ont encore fait bien marrer. Deux pages de “Moi je“, comme d’hab’, avec cette petite originalité, cet hommage au journaliste Alexandre Adler décédé en juillet. L’occasion, sans surprise, pour le rédac’ chef de Clicanoo, de rappeler à ses lecteurs son CV : “Adler disparu en juillet dernier, un “mensch” comme on dit, auquel je place ici un petit hommage tardif, au nom de mes anciens condisciples doctorants en sciences politiques de Paris-Dauphine“. Eh ouais, les mecs, GGL a été doctorant à Paris-Dauphine, ça vous défrise, hein, bande de tocards ! Bon, avoir fait de brillantes études pour finir par servir les plats à Tillier et faire de Clicanoo un média penchant à l’extrême-droite, au Tangue, on n’est pas sûr qu’il y ait de quoi être fier, mais, après tout, on a à peine une licence, on n’y comprend rien, aucun doute qu’on est un peu trop cons pour comprendre la pensée complexe du GGL, communiste pendant des années.

 

2023, année de la CNewsation de La Réunion

 

On a quand même essayé de chercher ce qu’il lui trouvait, à Alexandre Adler, qu’on connaît peu, au Tangue, à part par le biais des portraits assassins qu’on avait lus dans le Monde Diplo ou Acrimed (vous avez vu comment nous aussi, on place de la réf’ de qualité ?).On s’est finalement souvenu qu’Alexandre Alder figurait en bonne position dans le livre Les Nouveaux chiens de gardequi se penchait sur les collusions entre pouvoirs médiatique et politique. Un Alexandre Adler dont Libé expliquait en 2004 que sa compagne était “très proche de l’Elysée“. Là, on a compris : ça, ça lui parle, à GGL. 

 

Le copinage, le JIR en connaît un rayon

L. C.

 

 


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