“Rien au monde ne peut justifier cet acte de barbarie qui a enlevé la vie à une fille, une mère, une voisine dont les qualités relationnelles, la bienveillance et la gentillesse n’étaient plus à démontrer au sein de son entourage.”

Ah, parce que si la victime du féminicide de Saint-Joseph n’avait pas été mère, si elle avait été méchante et égoïste, ç’aurait été moins grave ? Décidément, les politiques, dont Huguette Bello ici avec Réunion 1ère, pédalent sévèrement dans la semoule quand il s’agit de réagir aux violences faites aux femmes.