“Cette île qu’ils appellent “l’île du diable” […] Les autochtones ont gardé leurs gènes de sauvages […] Tout ça a des réminiscences de cannibalisme des siècles passés […] J’ai honte de cette île, de la sauvagerie qui y règne encore […] une population dégénérée encore imprégnée des coutumes ancestrales, des traditions barbares qui sont leurs souches. […] cette île démoniaque.”

On tient peut-être ici notre plus grand vainqueur du concours l’épine de toute notre courte histoire, avec cette lettre écrite par Brigitte Bardot au préfet. Au Tangue, on y voit un formidable plaidoyer pour l’euthanasie : il faudrait vraiment aider les vieilles personnes à s’en aller dignement.