“La détestation du blanc tout court, zorey ou pas, qui nous arrive par la gauche woke, via les amis de Kémi Séba et consorts.”

Dans l’édito du 4 août, le JIR associe donc Kémi Séba à une hypothétique “gauche woke“. Séba, l’antisémite, le raciste, l’homophobe, proche de l’extrême-droite française et amis de nazillons, serait “woke” ? On ne savait déjà pas trop ce qu’était le “wokisme“, mais ce qui est rassurant, c’est que les journaux réacs n’ont semble-t-il pas compris non plus.