Aubry n’a pas pu s’en empêcher

Devant dix mille grenouilles de bénitier, l’évêque a pour une fois laissée tranquille la communauté LGBTQIA+. Pour mieux se lancer dans une diatribe contre l’euthanasie, tout en glorifiant un schéma familial imaginaire.   Cet article est payant. Pour le lire, celui-ci et beaucoup d’autres, il vous faut vous abonner. Rendez-vous donc ici. À bientôt.  

Panique dans les colocs : l’IGAS tape sur les ostéos

Un rapport de l’IGAS sur l’ostéopathie alerte sur le manque de contrôles au sein d’une profession aux pratiques peu éprouvées et potentiellement dangereuses. A La Réunion, les ostéos ont pourtant la cote.   Cet article est payant. Pour le lire, celui-ci et beaucoup d’autres, il vous faut vous abonner. Rendez-vous donc ici. À bientôt.  

En idiocracie, on fait parler les morts

Jean-Michel Informatique a mis la main sur un logiciel qui fait parler les photos. Ericka Bareigts a publié une lettre écrite par un mort. La débat autour de la statue de Mahé de Labourdonnais vire au n’importe quoi.   Cet article est payant. Pour le lire, celui-ci et beaucoup d’autres, il vous faut vous abonner. Rendez-vous donc ici. À bientôt.  

Hayot tient bon sur ses petits secrets

Entendus dans le cadre de la commission d’enquête sur le coût de la vie dans l’Outre‑mer, les boss de GBH continuent à cacher vaille que vaille tout ce qui se rapporte à la formation des prix ou à leurs parts de marché. Face aux députés, ils ont multiplié les ruses.   Cet article est payant. Pour le lire, celui-ci et beaucoup d’autres, il vous faut vous abonner. Rendez-vous donc ici. À bientôt.  

Epidémie de dopage chez les cousins

En quelques mois, quatre athlètes ultramarins se sont fait suspendre pour avoir violé les règles antidopage, dont deux pouvant participer aux prochains Jeux de Paris. Pour l’instant, La Réunion est épargnée… Ou ne s’est pas encore fait gauler.   Cet article est payant. Pour le lire, celui-ci et beaucoup d’autres, il vous faut vous abonner. Rendez-vous donc ici. À bientôt.  

Quand le sage désigne la canne à sucre, l’idiot regarde trois grains de riz

Les représentants des paysans pays sont forts : ils comptent parvenir à l’autonomie alimentaire sans toucher à la canne à sucre, qui n’alimente personne. Et alors que les importations de nourriture, l’urbanisation et la population augmentent. En vrai, les chiffres ne mentent pas.   Cet article est payant. Pour le lire, celui-ci et beaucoup d’autres, il vous faut vous abonner. Rendez-vous donc ici. À bientôt.